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Le BDSM désigne un ensemble de pratiques sexuelles (ou situations) qui utilisent la douleur,
l’humiliation érotique, la contrainte, et à plus large échelle, la mise en scène de nombreux fantasmes sexuels.


Mais les pratiques du BDSM sont très variées selon les individus.
Pour certains, le sadomasochisme doit faire l’objet d’un contrat entre un dominant et un dominé.

Pour des analystes comme Freud, cette limite entre dominé et dominant en réalité n’existerait pas vraiment:
quelqu’un capable d’infliger de la douleur dans les rapports sexuels en prenant du plaisir,
serait aussi capable de jouir de la douleur qu’on lui infligerait.
Mais cette position à largement été revue depuis et les commentaires sont nombreux.
Il dépend à chacun de trouver sa voie, de l’explorer: certains couples ou partenaires peuvent adopter plusieurs rôles différents.
D’autres sont uniquement sados ou masochistes.
Il y a également différents degrés de soumission ou de contrôle.

Le commencement d’une relation ou d’un jeu BDSM nécessite de communiquer, que ce soit au début ou pendant les jeux sexuels.
Ces conversations intimes permettent d’établir un premier élément de respect et de limite dans les pratiques.
En communiquant d’emblée, on établit l’objet de notre recherche.
La concrétisation de ce désir doit donc être respectueuse du souhait du partenaire.
Le fait de s’engager entre partenaires nécessite donc une communication claire.
Il est important de poser des questions précises, expliquer les désirs en détail,
être ouvert et accepter suffisamment pour ne pas être gêné ou sur la défensive.
Il faut que votre partenaire puisse évaluer vos désirs et vos limites.
Pour ce faire, on peut établir une liste que le partenaire devra respecter
ou se donner un nom de code lorsque les pratiques vont trop loin.

Toute pratique BDSM doit être consensuelle et partagée:
il faut respecter les désirs et les limites de chacun.e.s établies lors de la négociation.

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https://www.charles.co/blog/sexualite/bdsm/

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